GRANDE MANIFESTATION NATIONALE À BRUXELLES JEUDI 21 FÉVRIER 2013

La coupe est pleine !

Sous la pression des employeurs, le Gouvernement a décidé unilatéralement :

  • D’un GEL DES SALAIRES rendant impossible toute concertation sociale.
  • De MANIPULER L’INDEX en modifiant le panier de produits pris en compte pour le calcul … résultat, une perte de 90 € par an pour un salaire moyen.

De plus, il n’a toujours pas exécuté les décisions des interlocuteurs sociaux en matière d’augmentation des allocations sociales (pensions, chômage …) et du salaire minimum.

Et dans le même temps, le patronat (F.E.B.) réclame une flexibilité toujours plus importante (allongement du temps de travail via l’augmentation des heures supplémentaires) et de moins en moins négociée (pas de contrôle syndical ni d’enregistrement électronique du temps de travail). Alors que les restructurations jettent au chômage des milliers de travailleurs …

 

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La FGTB a donc décidé de suspendre sa participation à la concertation et de MOBILISER MASSIVEMENT !

Une manifestation en front commun syndical aura lieu à Bruxelles le 21 février 2013 :

  • – Pour la liberté de négociation et contre le gel des salaires.
  • – Pour le maintien intégral de l’index.
  • – Pour une fiscalité plus juste et plus progressive.

INFORMATIONS PRATIQUES

Journée de manifestation couverte par une indemnité de grève et une indemnité repas de 10€ pour les participants à la manifestation.

Déplacement organisé en train :

  • Arlon 7h43
  • Marbehan 7h55
  • Libramont 8h15
  • Jemelle 8h36
  • Marloie 8h

Départ à 10h30 de la Gare du Nord pour arriver au cabinet De Coninck vers 12h30.

Inscription obligatoire auprès de Sandrine BAETSLE

Par tél. 063/24.22.59 – ou par mail.

SOYONS TRES NOMBREUX !! C’EST LA SEULE CHOSE QU’ILS COMPRENNENT !!

 

Article: fgtb-luxembourg.be

One comment

  • L’austérité ne pousse pas les citoyens/travailleurs à une nouvelle lutte de classe, hélas! Depuis près de quarante ans qu’elle s’appilque (l’austérité), elle les a poussés, -elle nous a poussés-,
    à y renoncer et c’est pour cela qu’on a perdu tant d’acquis, à commencer par la liquidation lambeau par lambeau de nos salaires et de cette formidable forme salariée qu’est la sécurité sociale.
    « Il y a une guerre des classes, c’est un fait mais c’est ma classe, la classe des riches qui mène cette guerre, et nous sommes en train de la gagner. » (Warren Buffet, miliardaire, in New York
    Times, 26 novembre 2006). Les instances qui nous représentent nous ont endormis, nous faisant croire que la signature du Pacte social de ’44, qui scandait la fin de la guerre conre les fascistes,
    avait été en même temps la cérémonie de l’enfouissement à jamais  de la hache de la guerre des classes. Quelle erreur ! Un pacte n’est jamais que l’actualisation à un moment donné d’un
    rapport de forces, il ne marque pas la fin de ce rapport. les patrons l’avaient compris. A nous de reprendre la lutte,- et vite, nous avons trente ans de défaites à rattraper!-, non pas
    contraints et forcés par l’austérité mais par notre volonté autodéterminée, celle de poursuivre, aux risques de nous perdre, ce qu’avaient entamé nos pères et mères pour l’émancipation de la
    classe dont nous sommes les héritiers, celle des salarié-e-s.  

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